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Un parc zoologique à Hann, quelques baobabs encore debout dans les villages traditionnels à Ngor, Yoff, Yarakh ou Cambérène, ajoutés à de vieux figuiers, autres caïlcédrats et badamiers mal entretenus, le patrimoine vert de la capitale sénégalaise ne cesse de s’appauvrir chaque jour. A Dakar, dont le nom est lié à la présence d’un arbre, le tamarinier, la situation de l’arbre s’aggrave et le risque est grand de voir disparaître pour de bon, les derniers grands arbres comme le baobab.