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Le parlement algérien a adopté une réforme de la Constitution qui se faisait attendre depuis plusieurs années. Si elle prévoit de limiter le nombre de mandats présidentiels à deux, elle interdit aussi l'accès à de hauts postes dans la fonction publique, dont la présidence, à des binationaux. Une mesure qui suscite la colère dans la communauté franco-algérienne.