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Depuis que le président de l’Assemblée nationale a renvoyé dos à dos les députés de la majorité et de la minorité parlementaire, les méninges du chef de l’Exécutif fonctionnent mal. Ce qui présage d’une rupture de bancs entre les deux premières personnalités du Bénin. Mathurin Coffi Nago a pris ses responsabilités devant l’histoire pour ne pas être comptable d’un plan de déstabilisation de la démocratie béninoise. Car, le retrait du droit de grève aux magistrats d’une part, puis le musellement de la presse d’autre part, s’inscrivent dans un plan machiavélique auquel Nago n’a pas voulu souscrire.