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Ali Bouzaakouk, ministre libyen des Affaires étrangères du gouvernement de Tripoli, a indiqué, mercredi 10 février, que si l’interdiction d’atterrissage des avions libyens à l’aéroport international de Tunis-Carthage n’est pas levée, son gouvernement pourrait envisager de fermer les frontières entre les deux pays. Il a également accusé la Tunisie d’abriter des rencontres de dirigeants libyens qui cherchent à détruire la Libye, en dénonçant le silence des autorités tunisiennes face à ce qu’il a qualifié «d’attaque internationale contre gouvernement» islamiste de Tripoli.