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La Cour constitutionnelle nigérienne a estimé qu'il n'y avait pas de rupture d'égalité entre Hama Amadou, incarcéré à Filingué, et les autres candidats à la présidentielle. Elle s’est également déclarée incompétente quant à sa demande de libération pour la présidentielle du 21 février. L’ancien président de l’Assemblée nationale ne peut participer à la campagne électorale actuelle.