Democratic Republic of Congo

Kinshasa et les rebelles du M23 ont entériné formellement à Nairobi, jeudi 12 décembre, la fin de leur conflit dans l'est de la République démocratique du Congo, plus d'un mois après la défaite militaire de la rébellion. A Kinshasa, le porte-parole du gouvernement Lambert Mende a déclaré qu'il "n'y a pas d'accord" mais "deux déclarations unilatérales" et un communiqué qui annonce "la fin des pourparlers de Kampala", la capitale ougandaise où des négociations ont eu lieu de décembre 2012 au 3 ...lire la suite

La dépouille de l'ancien président congolais, Mobutu Sese Seko, mais aussi celle de l'ancien Premier ministre Moïse Tshombe, vont être rapatriées en Rd Congo, a déclaré mercredi 24 octobre, le président Joseph Kabila. Le rapatriement des sépultures de ces deux anciens dirigeants congolais faisait partie des recommandations adressées au début du mois au président Kabila par les "concertations nationales". L'ex-président du Zaïre est décédé le 7 septembre 1997 à Rabat, au Maroc, où il a été inh...lire la suite

Joseph Kabila briguera-t-il un troisième mandat en 2016 ? En l’état actuel de la Constitution de la Rd Congo, la réponse paraît négative. « Le nombre et la durée des mandats du président de la République [cinq ans, renouvelable une seule fois, NDRL] ne peuvent faire l’objet d’aucune révision constitutionnelle », dit le texte. Pas évident que les proches de Joseph Kabila, réélu en 2011, l’entendent de cette oreille. «Depuis quelques temps, les manœuvres se concoctent dans les officines des par...lire la suite

Le cas du président congolais Joseph Kabila est un exemple malheureux d'une haute personnalité sanctionnée par la communauté internationale. Le jeudi 27 juin, alors que Joseph Kabila se préparait à se rendre à Maputo, il a reçu de cette dernière un télégramme lui signifiant de ne pas aller au sommet de la Sadc prévu dans la capitale mozambicaine. Joseph Kabila est déclaré «persona non grata» à Maputo. Avant cet incident, Washington a rejeté l'accréditation de Jean Claude Masangu comme ambassa...lire la suite

Dans une lettre datée du mardi 7 mai, Human Rights Watch demande au chef de l’Etat congolais Joseph Kabila de « mettre fin à l’impunité pour les auteurs de graves violations des droits de l’homme ». Pour Human Rights Watch, le gouvernement congolais ne devrait conclure d’accord avec aucun chef de guerre ayant commis des exactions, quelle que soit son appartenance politique, ethnique ou autre.

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