Angola

La justice angolaise a placé en détention provisoire 15 jeunes activistes, arrêtés lors d’un coup de filet de la police et accusés de vouloir renverser le président Jose Eduardo dos Santos, au pouvoir depuis plus de 35 ans. Les 15 jeunes sont poursuivis pour “rébellion” et “attentat contre le président de la République et autres membres des organes de souveraineté”, a indiqué le ministère public dans un communiqué, deux crimes passibles de 3 à 12 ans de prison selon le code pénal angolais. Ce...lire la suite

Au moins 1 563 étrangers en situation migratoire irrégulière ont été expulsés du pays par le Service de migration et étrangers (Sme), a déclaré une source proche de l'institution. Le département de contrôle de réfugiés du Sme a demandé au Comité de reconnaissance du droit d'asile, l'auhenticité de 17 cartes des 20 Guinéens de Conakry, deux ivoiriens, un Erythréen, un Libérien et d’autres serra-léonais. Le Sme contrôle au niveau des pays, à travers des centres de détention d’étrangers illégaux...lire la suite

L'affaire ne cesse de faire sourire et d'être commentée à Luanda, la capitale de l'Angola, et même dans tout le pays. Mercredi 20 mai, le président José Eduardo dos Santos préside une cérémonie officielle de nominations au sein de la police nationale. Tous les récipiendaires sont présents sauf un, le sous-commissaire André Kiala nommé conseiller du commandant-général de la police angolaise. L'officier est absent pour une raison simple : il est décédé le 29 avril de maladie et a été inhumé le ...lire la suite

L'Angola à l'heure de l'austérité. Comme tous les pays producteurs de pétrole, ce pays est affecté par la baisse du prix de l'or noir depuis plusieurs mois. Le pétrole représente 75 % de ses recettes fiscales et 90 % de ses exportations. Cela signifie donc une perte considérable de revenus, une diminution du volume de dollars en circulation dans le pays et un ralentissement économique. Et les conséquences sociales sont lourdes…

Le procès du journaliste et activiste des Droits de l'homme Rafael Marques ouvert mardi à Luanda a été renvoyé au 23 avril. Le procès s'est déroulé à huis clos, conformément à la loi angolaise en matière de diffamation, de calomnie et d’injures. Sept généraux de l'armée angolaise ont porté plainte contre Rafael Marques pour "dénonciation calomnieuse". Parmi eux le général Manuel Helder Vieira Dias Junior, présenté comme le bras droit de l'actuel chef de l'état José Eduardo dos Santos.

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