Burkina Faso

Le Burkina a procédé à l’installation d’un Observatoire national des faits religieux. Cette décision découle du fait qu’on constate l’existence d’une multiplicité grandissante de médias confessionnels qui diffusent des messages et qui apportent aux citoyens burkinabè, les valeurs essentielles en vue de la promotion de la tolérance religieuse et de la solidarité pacifique et constructive. Cependant, parfois des médias confessionnels professent des messages de nature à engendrer des conflits co...lire la suite

Le ministre des Infrastructures, du Désenclavement et des Transports du Burkina, Moumouni Diéguimdé, a rendu sa démission au Premier ministre le 8 janvier. La justification de cette démission s’explique par la vague de contestations des agents de son département, de certains mouvements de la société civile et des syndicats qui le taxe d’avoir été emprisonné aux Etats-Unis. La pression sur ce ministre était forte à telle enseigne que le président du Faso a demandé des investigations auprès de

Ses détracteurs espéraient que Blaise Compaoré, qui lui avait offert l'hospitalité, l'entraînerait dans sa chute, mais ils en ont été pour leurs frais. Moussa Dadis Camara, l'ancien chef de la junte guinéenne, réside toujours dans la capitale burkinabè. C'est précisément dans le quartier chic de Ouaga 2000 que réside Moussa Dadis Camara. Son ancien protecteur a quitté le pays le 31 octobre, mais pas lui. Le 11 décembre, il a même été aperçu lors de la célébration de la fête de l'indépendance ...lire la suite

Le 18 juillet 2006, le juge d’instruction Wenceslas Ilboudo prenait une ordonnance de non-lieu au terme de l’enquête judiciaire sur la mort du journaliste Norbert Zongo. Huit ans plus tard, ce même magistrat, qui occupe aujourd’hui les fonctions de procureur général du Burkina Faso, est chargé de la réouverture du dossier. Norbert Zongo, directeur de la publication du journal L'Indépendant, est mort alors qu’il enquêtait sur la mort de David Ouédraogo, chauffeur de François Campaoré, le frère...lire la suite

Le président burkinabè Michel Kafando a annoncé mercredi 31 décembre la levée de la suspension qui frappait depuis deux semaines le parti de l'ex-chef de l'Etat Blaise Compaoré, chassé par la rue fin octobre après 27 ans de règne. Le gouvernement reprochait à ces partis une "activité incompatible avec la loi". Le Cdp constituait le bras politique de l'ancien régime. Il avait remporté toutes les élections depuis sa création en 1996, et disposait à lui seul de la majorité absolue à l'Assemblée ...lire la suite

Pages