Chad

Chose promise, chose due. Le gouvernement tchadien, qui s’était engagé à abolir la peine de mort en signant un moratoire, a tenu parole. En effet, la peine capitale n’a pas été retenue dans le nouveau code pénal tchadien, adopté en Conseil de ministres. L’ancien texte, vieux de 50 ans, était devenu obsolète. Même si la justice tchadienne n’a prononcé aucune condamnation à mort durant ces dix dernières années, le pays était régulièrement indexé dans les forums internationaux comme faisant part...lire la suite

Le ministre tchadien de la Justice est sous le feu des critiques d'une partie du corps judiciaire qui réclame son départ. Selon son entourage, Me Bechir Madet est victime d'une cabale d'un lobby qui ne supporte pas sa croisade contre la corruption. Les deux syndicats tchadiens de la magistrature, aphones depuis plusieurs mois, sont devenus audibles depuis le 25 juillet. Outrés par ce qu'ils considèrent, venant du ministre de la Justice, Me Bechir Madet, comme une insulte à leur profession, il...lire la suite

Plus de 500 000 personnes ont été déplacées en raison de la crise centrafricaine, selon Médecins sans frontières. Dans un rapport alarmant, l'Ong dénonce le désastre humanitaire que subissent les réfugiés musulmans, avant et pendant leur exode dans les pays voisins. Ils ont été plusieurs milliers de civils à fuir les exactions à Bangui. Certains ont emprunté les convois mis à disposition par l'armée tchadienne. D'autres ont pris la route, pendant des mois, pour rejoindre la frontière cameroun...lire la suite

L’Etat du Tchad sera fixé le 13 août prochain à propos de sa requête de se constituer partie civile dans le procès Hissène Habré, a-t-on appris le mercredi 23 juillet de source judiciaire dans la capitale sénégalaise. La Chambre d’accusation des Chambres africaines extraordinaires (Cae) chargées de juger l’ancien président tchadien, a mis l’affaire en délibéré après une audience à huis-clos. Lors d’un premier jugement en mai dernier, le parquet général des Cae avait rejeté cette demande, esti...lire la suite

Le Nigeria, le Niger, le Tchad et le Cameroun ont annoncé la création d'une force commune destinée à lutter contre Boko Haram, une secte islamiste est considérée comme une menace croissante pour la région. Chacun de ces quatre pays fournira 700 hommes afin de constituer cette force commune. Une force qui vient s'ajouter au partage du renseignement et aux mesures de coordination de la sécurité aux frontières déjà mis en place par ces pays.

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