Mauritania

Le président d'une ONG anti-esclavagiste mauritanienne, Biram Ould Abeid, a été interpellé samedi 27 avril à Nouakchott en compagnie de quatre de ses proches, a-t-on appris auprès de la police. M. Ould Abeid, qui dirige l'Initiative pour la résurgence du mouvement abolitionniste (IRA-Mauritanie), est accusé d'avoir fait brûler des ouvrages d'érudits musulmans, reprochant à leurs auteurs d'avoir justifié la pratique de l'esclavage en Mauritanie au nom de l'islam. Selon des sources du parquet d...lire la suite

Un ancien pilier du régime libyen déchu de Mouammar Kadhafi, recherché par la Cour pénale internationale (CPI), Abdallah al-Senoussi, a été arrêté dans la nuit de vendredi 16 au samedi 17 mars à l'aéroport de Nouakchott. Beau-frère de l'ancien "Guide de la révolution", al-Senoussi, colonel âgé de 62 ans, faisait partie du premier cercle entourant Kadhafi. Il a longtemps été chef des renseignements militaires de Libye. La CPI avait émis un mandat d'arrêt à son encontre le 27 juin 2011, l'accus...lire la suite

Les premiers réfugiés venus de Bamako, via l’Est de la Mauritanie, une cinquantaine de familles, sont arrivés à Nouakchott le 5 février. Ces populations, originaires du Nord-Mali, affirment 'avoir tout perdu dans les pillages et être dans un dénuement total' depuis que la région Nord du Mali est la cible d'attaques de groupes armés touaregs.

Les autorités françaises ont décidé, le 27 juillet, de fermer le Centre culturel français de Nouakchott, jusqu’au 15 septembre prochain, «par précaution sécuritaire», selon des sources proches de l’ambassade de France. La fermeture de ce centre, lieu d’attraction pour les Mauritaniens et la colonie français, intervient suite aux menaces proférées par Al-Qaïda au Maghreb Islamique de «s’attaquer aux intérêt de la France dans la sous-région».

Le président mauritanien, le général Mohamed Abdel Aziz veut récupérer des milliards d’ouguiyas détournés ces dernières années par de hauts dirigeants. Les sommations et les arrestations provoquent une véritable psychose auprès des hauts cadres, habitués à se servir à volonté. D’aucuns croient savoir que le prochain tsunami pourrait être la Société nationale du chemin de fer (SNIM), où des irrégularités auraient été relevées dans l’approvisionnement. Récemment, Nouakchott a connu un scandale ...lire la suite

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