Le sommet de Copenhague sur le Changement climatique s’est terminé sur ce constat d’échec qui découle souvent des grandes conférences internationales, où les vraies solutions sont différées et les illusions entretenues par des consensus sur les minima incompressibles. Pour les femmes africaines, Cop15, ainsi qu’on a appelé le conférence de Copenhague devaient avoir un sens et une finalité particulière. Pour Mama Koité Doumbia, ce sommet, plutôt que de se focaliser sur une «approche de dévelop...lire la suite
Le sommet de Copenhague sur le Changement climatique s’est terminé sur ce constat d’échec qui découle souvent des grandes conférences internationales, où les vraies solutions sont différées et les illusions entretenues par des consensus sur les minima incompressibles. Pour les femmes africaines, Cop15, ainsi qu’on a appelé le conférence de Copenhague devaient avoir un sens et une finalité particulière. Pour Mama Koité Doumbia, ce sommet, plutôt que de se focaliser sur une «approche de développement et de croissance économique, aurait dû réfléchir aux solutions «fondées sur les connaissances propres et les besoins des communautés par rapport à leur environnement immédiat». De sorte que «chaque femme, chaque homme et enfant puisse vivre en bonne santé , dans un environnement sain et jouir de chances égales dans la vie».