Alors que l’Assemblée générale des Nations Unies se prépare au prochain sommet de Rio de Janeiro sur l’environnement en juin 2012, les solutions globales proposées pour répondre à la quadruple crise « alimentaire, énergétique, financière et climatique » vont dans le sens d’une marchandisation accrue de nos vies, écrit Pat Mooney. Face à des « stratégies de choc » visant à pallier l’érosion agricole, l’effondrement des écosystèmes, l’extinction des cultures et les « disparues » du genre, Moone...lire la suite
Alors que l’Assemblée générale des Nations Unies se prépare au prochain sommet de Rio de Janeiro sur l’environnement en juin 2012, les solutions globales proposées pour répondre à la quadruple crise « alimentaire, énergétique, financière et climatique » vont dans le sens d’une marchandisation accrue de nos vies, écrit Pat Mooney. Face à des « stratégies de choc » visant à pallier l’érosion agricole, l’effondrement des écosystèmes, l’extinction des cultures et les « disparues » du genre, Mooney met en question ces prétendues thérapies et leurs conséquences à long terme.