Karen Stefiszyn

L’entrée en vigueur du Protocole de Maputo, après sa ratification par 20 Etats, n’a pas suffisamment fait avancer la cause du respect des droits des femmes en Afrique. Si la faiblesse des ressources financières et humaines expliquent certaines lenteurs, c’est sans doute la volonté politique qui manque le plus. Pour Karen Stefiszyn, il peut bien y avoir un facteur d’impulsion si un meilleur suivi est fait des rapports que les Etats membres de l’Union africaine doivent soumettre sur le chemin d...lire la suite