Après la Cote d’Ivoire et la Libye, à qui le tour ? Derrière les oripeaux d’une offensive supposée pour la démocratie et la libération de peuples opprimés par des dictateurs, les pays occidentaux perpétuent une entreprise qui, pour Bernard Bokodjin, cache mal son véritable visage. Selon lui, les pays africains qui ont soutenu la guerre contre la Libye et reconnu le CNT ont avalisé un engrenage qui pourrait les avaler eux-mêmes. Car il y a pire que Khadafi sur ce continent.