Farouk James

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Dans le sillage de l’imposition de la zone d’exclusion aérienne sur la Libye par l’OTAN le 31 mars, il y a de sérieux doutes à propos du déni du Pentagone aux Etats-Unis, quant à l’utilisation d’uranium appauvri, écrit Farouk James. Suite à la demande des Etats-Unis, de la France et de la Grande Bretagne pour une invasion, écrit James, le pouvoir de veto des membres permanents du Conseil de Sécurité doit être une fois de plus remis en question.