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La directive qui oblige les entreprises qui font des affaires avec le gouvernement kényan à signer une charte de bonne conduite provoque l’effet inverse en favorisant la corruption. Elle ne fait que fragiliser plus encore l’environnement des affaires au Kenya. Dans le cas de ce pays, la plate-forme démocratique électorale limite les possibilités et les chances des individus d’accéder au pouvoir à moins qu’ils n’achètent l’affranchissement à ces règles. Cela incite les individus à amasser des richesses en vue d’acheter leur leadership pour accéder à une fonction élective. Cela sème les graines d’un cycle infernal de corruption.