Version imprimableEnvoyer par courrielversion PDF

L’ouverture de la session parlementaire ordinaire a eu lieu ce mercredi 1er octobre. Elle était très attendue sur fond de tension depuis que Hama Amadou, le président de l’Assemblée nationale, s’est exilé en France, niant les soupçons qui pèsent contre lui dans l’affaire de «supposition d’enfants». Une tension qui s’est accrue avec le mandat d’arrêt national lancé contre lui par la justice nigérienne. En ouvrant la session, le quatrième vice-président de l’Assemblée nationale a déclaré que les membres du bureau de l’institution avaient mis le président Hama Amadou à la disposition de la justice. Seule voie, selon lui, qui pourrait laver Hama Amadou de tout soupçon et permettre ainsi d’élucider ce dossier gênant. Ben Omar Mohamed a ajouté que l’Assemblée nationale ne sera pas un sanctuaire de l’impunité.