Les jeunes élèves d’une école primaire de Port Elizabeth, âgées de 10 à 13 ans, ont toutes reçu la semaine dernière par injection un contraceptif de longue durée, à l’issue d’ateliers de « planning familial » organisés à l’Emzomncane Primary. Leurs parents n’avaient pas donné leur consentement et n’avaient même pas été mis au courant, bien qu’une lettre leur ait été adressée pour les tenir au courant de la tenue des ateliers, sans précision de date. Le principal de l’école, saisi de multiples...lire la suite
Les jeunes élèves d’une école primaire de Port Elizabeth, âgées de 10 à 13 ans, ont toutes reçu la semaine dernière par injection un contraceptif de longue durée, à l’issue d’ateliers de « planning familial » organisés à l’Emzomncane Primary. Leurs parents n’avaient pas donné leur consentement et n’avaient même pas été mis au courant, bien qu’une lettre leur ait été adressée pour les tenir au courant de la tenue des ateliers, sans précision de date. Le principal de l’école, saisi de multiples plaintes, s’est contenté de renvoyer les parents vers un responsable local du ministère de l’Education, qui, lui, a affirmé ne pas avoir été au courant de la campagne et qu’il l’a dénoncée, tout comme plusieurs médecins et gynécologues qui ont dénoncé les injections comme contraires à l’éthique.