Les juges qui instruisent le dossier du putsch manqué de septembre au Burkina Faso n'ont subi "aucune pression" en vue de lever le mandat d'arrêt international lancé début janvier contre le président de l'Assemblée nationale ivoirienne Guillaume Soro, a assuré le procureur militaire burkinabè. De nombreuses rumeurs relayées dans les réseaux sociaux font état de pressions du pouvoir politique sur le juge d'instruction afin de lever le mandat d'arrêt. En marge du sommet de l'Union africaine fin...lire la suite

Le chef de l'Etat sud-africain, embourbé dans un scandale d'utilisation de fonds public à des fins privées pour sa résidence de Nkandla, a proposé de rembourser une partie des 15 millions d’euros utilisés. Mais le leader de la gauche radicale Julius Malema, qui a porté plainte auprès de la Cour constitutionnelle, refuse toute solution négociée. Pour le chef de l'Etat, il s'agit d'éviter que la Cour constitutionnelle ne se saisisse de l'affaire. Mais Julius Malema veut que l'affaire aille jusq...lire la suite

De report en report, la chambre d’accusation de la Cour d’appel de Lomé a prévu encore une fois rendre son verdict le 3 février prochain dans l’affaire Pascal Bodjona. L'autre rendez-vous dans cette affaire se fera devant la Cour de justice de la Cedeao le 10 février, suite à une requête des Conseils de Pascal Bodjona. Le 24 avril 2015, la Cour de justice de la Cedeao avait ordonné à l'Etat togolais la tenue d’un procès ou la libération de l’ancien ministre de l’Administration territoriale s'...lire la suite

Des disciples mourides ont marché, vendredi 29 janvier, à Touba, pour protester contre la publication d’une caricature de leur guide, Cheikh Ahmadou Bamba (1853-1927), par l’hebdomadaire panafricain Jeune Afrique.? Les protestataires ont spontanément pris d’assaut les principales artères de la cité religieuse, pour marquer leur courroux à l’endroit du magazine basé à Paris. La foule scandait des slogans hostiles au magazine, appelant à l’interdiction de vente et de la diffusion de l’hebdomada...lire la suite

Les experts des Nations unies n’ont pas changé de position concernant la détention du fils de l’ancien président sénégalais et appellent le gouvernement du Sénégal au respect du droit international des Droits de l’homme. Dans une déclaration publique, le Groupe de travail des Nations unies sur la détention de Karim Wade a réitéré son avis formulé en avril 2015, dans lequel il l’a considérait déjà comme étant «arbitraire». Les experts onusiens appellent le gouvernement sénégalais à «prendre le...lire la suite

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