Le mardi 28 octobre, 62 pays ont pris la parole à l'occasion de l'Examen périodique universel de la Gambie, aux Nations unies à Genève, afin d'exhorter les autorités de la Gambie à promouvoir et protéger les droits fondamentaux. Parmi les motifs de préoccupation exprimés par les États membres des Nations unies figuraient les restrictions injustifiées du droit à la liberté d'expression et la reprise des exécutions dans ce pays. Des journalistes ont été victimes de disparitions forcées en Gambi...lire la suite
Le mardi 28 octobre, 62 pays ont pris la parole à l'occasion de l'Examen périodique universel de la Gambie, aux Nations unies à Genève, afin d'exhorter les autorités de la Gambie à promouvoir et protéger les droits fondamentaux. Parmi les motifs de préoccupation exprimés par les États membres des Nations unies figuraient les restrictions injustifiées du droit à la liberté d'expression et la reprise des exécutions dans ce pays. Des journalistes ont été victimes de disparitions forcées en Gambie, tandis que des militants ont subi la torture - notamment des brûlures aux jambes causées par de l'huile bouillante et des lacérations dans le dos infligées à l'aide de tiges de métal - pour avoir dénoncé des violations des droits humains commises par l'État.