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Un premier prélèvement effectué sur une étudiante décédée récemment dans le nord de la Sierra Leone avait été testé positif au virus Ebola par les autorités sanitaires de Sierra Leone. Triste coïncidence : l'Oms avait annoncé le même jour l'arrêt de "toutes les chaînes connues de transmission" de l'épidémie d'Ebola dans l'ensemble de la région de l'Afrique de l'Ouest. Mais l'institution a mis en garde contre le "risque permanent de nouvelles flambées durant 2016 en raison de la persistance du virus parmi les survivants". Le virus subsiste dans certains liquides corporels, notamment le sperme où il peut rester jusqu'à neuf mois, voire un an.